Visite de la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata à Flores

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Tourisme d’Indonésie

Prêt à aller à la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata sur Flores

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Attraction

Dans la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata à Flores, il y a une beauté naturelle et une culture unique de la communauté locale. Il y a beaucoup d’unicité, à partir du village (desa), du sous-district (kecamatan), du district (kabupaten) et des niveaux provinciaux.

En Indonésie, chaque province a des caractéristiques différentes et intéressantes. Chaque province a une culture et un mode de vie différents et uniques.

Lamalera, sur la côte sud de l’île de Lembata, et Lamakera sur Solor voisin, sont les deux dernières communautés baleinières indonésiennes.

Les chasseurs obéissent à des tabous religieux qui garantissent qu’ils utilisent chaque partie de l’animal. Environ la moitié des prises est conservée dans le village; le reste est troqué sur les marchés locaux.

Les Lamalerans chassent plusieurs espèces de baleines, mais la capture de cachalots est préférable, tandis que d’autres baleines, comme les baleines à fanons, sont considérées comme taboues pour chasser.

Partout dans le monde, le village de Lamalera sur l’île de Lembata à Flores  est connu comme le berceau de la chasse traditionnelle aux baleines.

Des documents portugais datant de 1643 mentionnent déjà que ces chasses héroïques ont été aperçues alors.

À Lamalera, les villageois chassent de gros animaux marins, comme les baleines, les raies manta et parfois les dauphins pour nourrir et vivre tout le village, qu’ils entreprennent sur de simples voiliers et conformément aux anciennes croyances, tabous et traditions.

C’est pour ces raisons, par conséquent, que les chasses à la baleine de Lamalera sont jusqu’à ce jour exemptées de l’interdiction internationale de la chasse à la baleine, compte tenu de la façon traditionnelle dont cela est encore fait et du fait que la chasse à ces créatures géantes de l’océan aide les villageois à soutenir leur économie de subsistance.

Le gouvernement prend bien soin de la préservation de la nature et du maintien de l’état de la forêt.

L’environnement est également bien entretenu.

Activité

En visitant la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata à Flores, nous assisterons à des activités communautaires de routine dans des cultures traditionnelles uniques. Et il y a des plats spéciaux et de la nourriture dans le cadre de visites culinaires qui sont délicieux et délicieux.

Chaque année, les baleines migrent entre l’océan Indien et le Pacifique de mai à octobre, lorsque ces animaux marins géants passent la mer de Savu juste aux portes de l’île de Lembata. Pour Lembata, la chasse à la baleine commence donc le 1er mai et atteint son apogée en juillet.

Lorsqu’une chasse aux baleines est décidée, un certain nombre de bateaux stationnés sur la plage sont libérés de leurs abris simples, encouragés par tout le village, et une troupe de bateaux s’embarquera pour attraper leur récolte.

Avant cela, cependant, tout le monde se rassemble pour assister à une messe dédiée dirigée par le prêtre catholique local pour prier pour une expédition réussie et sûre. Car, la majorité des habitants ici sont catholiques.

Les baleiniers Lamaleran traditionnels utilisaient des bateaux de pêche en bois construits par un groupe de clans d’artisans locaux appelés ata molã et les pêcheurs pleureront la «mort» de leurs navires pendant deux mois.

De nos jours, les Lamalerans utilisent un moteur à moteur pour propulser leurs bateaux; cependant, leur tradition veut qu’une fois une baleine capturée, les pêcheurs devront ramer leurs bateaux et la baleine jusqu’au rivage.

Les pratiques traditionnelles faisaient de la chasse à la baleine une chasse dangereuse. Dans un cas, un bateau a été tiré à environ 120 km vers Timor (voir promenade en traîneau à Nantucket), tandis que dans un autre cas, la baleine chassée a chaviré le bateau et a forcé les pêcheurs à nager pendant 12 heures vers le rivage

La chasse à la baleine se fait toujours sur des bateaux en bois traditionnellement fragiles, appelés peledang. Ceux-ci sont occupés par 7 à 14 barreurs, rameurs et harponneurs, où chacun est affecté à ses fonctions spéciales. Le plus agile de l’équipe se tient sur l’arc prêt avec un harpon barbelé.

Lorsqu’une baleine ou une manta est aperçue, il jette son harpon dans l’animal en sautant sur le harpon afin de lui donner son poids supplémentaire.

Lorsque la cible est un énorme cachalot et que c’est un coup, les autres membres de l’équipe jettent plus de harpons sur la proie. Et quand il est finalement désactivé, tous les membres de l’équipe soulèvent le corps lourd sur le bateau.

D’autres villages qui chassent également des baleines viennent du village de Lamakera sur l’île de Solor, mais le village de Lamalera est le plus connu.

Pendant une saison, les insulaires peuvent attraper entre 15 et 20 baleines.

En 1996, RH Barnes , chercheur à l’Université d’Oxford, a    écrit  «Les chasseurs de mer d’Indonésie: pêcheurs et tisserands de Lamalera»,  décrivant cette chasse communautaire aux cachalots ( Physeter macrocepalus ) par les villageois de Lamalera, sur l’île de Lembata.

Le village de Lamalera est entouré de collines rocheuses et de terres stériles, face à la mer sauvage de Savu.

Lorsque la saison des baleines arrive, les bateaux sont libérés. Les foules applaudissent alors que plus de bateaux, appelés localement  peledang , sortent du  najeng , les maisons des bateaux. Tale leo ,  la corde faite de végétation locale, est hissée pour lever la voile.

Un autre  leo de conte  est attaché au harpon hérissé. La chasse aux baleines peut prendre des heures et, dans certains cas, elle peut prendre des vies.

Les villageois attrapent uniquement des cachalots comme le veut la tradition. Le rorqual bleu  (Balaenoptera musculus)  passe occasionnellement par les eaux environnantes.

Cependant, ces villageois conduiraient les baleines bleues qui approchent vers la haute mer et leur feraient un au revoir chaleureux.

Les rorquals bleus sont considérés comme tabous pour chasser car ils sont censés être les gardiens des Lamalera. Ils considèrent la baleine bleue comme leur mère, et les chasser est donc un péché.

Lorsqu’une baleine s’approche, le  lamafa  le harponneur saute du bateau et poignarde les cétacés avec un  tempuling , un harpon fait main.

L’action bouleversante d’ un  lamafa  est l’un des moments attendus dans le monde de la documentation visuelle. Les visiteurs curieux attendraient des jours pour venir avec les groupes de  matros , bateliers conduits par un lamafa .

Ils resteraient avec les pêcheurs et les familles pour comprendre la vie unique des pêcheurs. Baleo! Baleo!  Les villageois crient alors que la baleine attendue fait surface au loin.

Il y a plus de tabous pour les Lamaleras en ce qui concerne la chasse aux baleines. Il est également interdit de chasser les baleines gestantes, les jeunes baleines et les baleines reproductrices.

Cette capacité à reconnaître ces tabous spécifiques ne peut s’apprendre qu’à travers de longues périodes d’expérience.

Malheureusement, certains aînés craignent que la tradition ne disparaisse, car les jeunes ont tendance à séparer la tradition de la modernité commode, de sorte que les générations futures n’adhéreront plus à ces précieuses valeurs traditionnelles.

En réponse à la menace imminente de disparition, les anciens de Lamalera ont transformé la pratique saisonnière en un festival appelé le  Festival Baleo,  qui a commencé en 2009 et se tient chaque année jusqu’à présent.

Pendant le festival, des costumes traditionnels sont enfilés et ceux qui sont nés et ont grandi à Lamalera se rassemblent pour faire du festival non seulement un succès, mais aussi un héritage pour les descendants de Lamalera.

Le message des ancêtres doit être transmis, c’est-à-dire conserver la tradition et la sagesse locale.

Avant la  chasse au kotoklema  , une  lefa , un rituel dirigé par l’ancien du village ou un prêtre d’église, est organisée pour inviter les baleines attendues. Un bateau peut accueillir 7 à 12  matros , dirigés par un  lamafa  ou encore appelé  balafaing .

Lorsqu’un  lamafa  jaillit dans l’eau et enfonce le harpon au cœur du géant de la mer, les  matros  doivent être prêts à faire face au danger potentiel causé par la baleine blessée, qui nagera souvent sous le bateau et l’entraînera avec lui.

Trois à quatre coups de couteau sont nécessaires pour paralyser la baleine ciblée, afin que le bateau puisse remorquer les prises jusqu’au village et les partager avec le reste des gens à terre.

Vous pouvez trouver bau nyale  le festival de capture de vers de mer, pasola, le festival d’équitation et de lancer de javelot, et le fascinant caci, whip battle dance ici.

Arrêtez-vous dans la ville de  Kupang  ou  Maumere et explorez le reste de l’île à Ngada et d’autres villages pour découvrir certaines des magnifiques traditions anciennes.

Dans cet endroit, il y a également des événements ou des activités réguliers organisés chaque année, à la fois nationaux et internationaux.

Accessibilité

Le voyage à la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata sur Flores est maintenant très facile. Nous pouvons entrer par différents modes de transport.

Accès pour aller à la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata sur Flores:

L’île de Lembata est à 190 kilomètres au nord de  Kupang , la capitale de East Nusatenggara. Loweleba  est la plus grande ville de l’île de Lembata et perchée sur la côte sud de l’île.

Pour vous rendre à Lowelaba, prenez l’avion depuis  Bali  ou  Lombok  jusqu’à Maumere à l’  aéroport de Frans Seda .

De Maumere, allez à Larantuka en bus. De Larantuka, la seule façon d’aller à Lamalera est de traverser en ferry à Lewoleba qui sillonnent chaque jour, ou directement à Lamalera depuis Larantuka avec un ferry une fois par semaine.

L’état de l’infrastructure s’améliore. À partir des autoroutes, des aéroports, des sentiers, des ports, des ponts, des escaliers, même certains endroits peuvent être atteints par des routes à péage.

Nous pouvons visiter en avion, voiture, bateau, bus, moto et vélo. À un moment donné, nous pouvons prendre le train. Nous pouvons également marcher librement.

Aménité

Dans la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata sur Flores, la technologie s’améliore. Nous pouvons facilement trouver des emplacements pour des supérettes, des magasins (warung kedai), Money Changer, des distributeurs automatiques de billets, Bank BRI BCA BNI Mandiri, BTPN Bank Nagari BJB, des supermarchés et des restaurants. Ainsi, nous ne mourrons pas de faim ou ne manquerons pas des articles nécessaires.

Suggestion avant de visiter La chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata sur Flores:

Si vous n’êtes pas dans des scènes sanglantes, cette chasse peut être très dérangeante. Vous voudrez peut-être rester à terre. Lorsque vous décidez de partir dans un bateau dirigé par un  lamafa , vous devez être prêt avec tous les risques.

Il est donc fortement recommandé de partir sur un autre bateau, car la baleine qui fait rage peut être très mortelle. Méfiez-vous de la frénésie car vous risquez de perdre votre équipement, en particulier vos caméras.

Si vous êtes malade et avez besoin d’aide, vous pouvez également visiter des cliniques, des pharmacies de pharmacie (apotek), des médecins praticiens, des hôpitaux et des centres de santé (puskesmas).

Dans cet endroit, nous pouvons également rechercher des lieux de culte tels que des mosquées, des églises et autres.

Hébergement

Il est très facile de trouver un endroit pour séjourner à la chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata à Flores. Nous pouvons rester à la maison, hôtels, auberges, auberges et autres lieux.

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Expérience et avis

Il y a déjà de nombreux visiteurs qui ont visité La chasse traditionnelle aux baleines de Lamalera Lembata à Flores, il y a beaucoup d’histoires intéressantes qui sont racontées. Comme se sentir satisfait, heureux, vouloir revenir, bien dormir, et presque personne n’est déçu ou ne se plaint de venir ici.

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